Après Jean-Frédéric Poisson évincé, exeunt les Poissons roses et Régis Passerieux, leur candidat qui prétendait participer aux primaires de la « Belle alliance populaire ». Faute d’un nombre de parrainages suffisants, ces chrétiens de gauche n’auront pas de compétiteur aligné sur la ligne de départ. Certes, il s’agissait d’un challenger. La direction du Parti socialiste aurait organisé l’ostracisme en décourageant les parlementaires d’apporter leur soutien à ce mouvement atypique de chrétiens revendiquant de l’être dans un parti où il est de bon ton de manger ostensiblement un steak le vendredi, par pure provocation. Ils doutent, désormais, d’avoir encore une place dans les eaux troubles du marigot.
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